- EAN13
- 9782917045749
- ISBN
- 978-2-917045-74-9
- Éditeur
- Kilowatt
- Date de publication
- 06/03/2020
- Collection
- LES KAPOCHES
- Nombre de pages
- 48
- Dimensions
- 18 x 14 x 0,5 cm
- Poids
- 108 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
8.50
Anne Loyer nous propose un beau récit sur le
handicap que représente la dyslexie. Ce trouble
de la lecture et l’écriture est désormais reconnu
comme trouble spécifique de l’apprentissage
(T.S.A.) et comme un handicap par l’OMS.
Mais il y a encore trop souvent confusion entre
manque d’intelligence et dyslexie.
Mona se bat avec sa dyslexie sans l’avoir déjà
identifier. Grace au soutien sans faille de
Mamounette, sa grand-mère, elle va se découvrir
un autre moyen d’expression à travers le dessin.
Une autre forme de valorisation auprès de ses
amis, ses enseignants et ses parents.
Les illustrations d’Arnaud Nebbache viennent
rajouter ce plus de fantaisie et de poésie pour
mieux comprendre ce qui se passe dans la tête
de Mo’.
Moi, c’est Mona, mais on m’appelle Mo’ !
Ça rime avec « rigolo », mais aussi avec « mots».
Et c’est là que ça se gâte, car j’ai un problème
avec eux. Pas pour les dire ou les chanter...
Pour les écrire : zéro pointé à toutes mes dictées !
Heureusement il y a le dessin, parce que les
mots, on peut aussi les mettre en images.
handicap que représente la dyslexie. Ce trouble
de la lecture et l’écriture est désormais reconnu
comme trouble spécifique de l’apprentissage
(T.S.A.) et comme un handicap par l’OMS.
Mais il y a encore trop souvent confusion entre
manque d’intelligence et dyslexie.
Mona se bat avec sa dyslexie sans l’avoir déjà
identifier. Grace au soutien sans faille de
Mamounette, sa grand-mère, elle va se découvrir
un autre moyen d’expression à travers le dessin.
Une autre forme de valorisation auprès de ses
amis, ses enseignants et ses parents.
Les illustrations d’Arnaud Nebbache viennent
rajouter ce plus de fantaisie et de poésie pour
mieux comprendre ce qui se passe dans la tête
de Mo’.
Moi, c’est Mona, mais on m’appelle Mo’ !
Ça rime avec « rigolo », mais aussi avec « mots».
Et c’est là que ça se gâte, car j’ai un problème
avec eux. Pas pour les dire ou les chanter...
Pour les écrire : zéro pointé à toutes mes dictées !
Heureusement il y a le dessin, parce que les
mots, on peut aussi les mettre en images.
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