- EAN13
- 9782889088928
- Éditeur
- La Joie de Lire
- Date de publication
- 07/07/2014
- Collection
- Récits
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
Mo, vache basque née juste à la fin de la guerre civile espagnole, écrit ses
mémoires. Sa première déconvenue est de naître vache, mais elle finira par
s’accommoder de cet état de fait, aidée en cela par sa voix intérieure,
surnommée Pénible, sorte de conscience amicale au discours fleuri empreint de
sagesse mais… pénible. Mo vit à Balanzategui, une ferme étrange tenue par
Genoveva et placée sous la surveillance de deux jumeaux aux grandes dents sous
les ordres d’un tueur étranger surnommé Lunettes vertes. Lors d’absurdes
festins de fourrage, Genoveva sépare les noires et les rousses. Mo découvrira
en développant son esprit de déduction et d’observation, que ce système est un
moyen de communication entre les montagnards (qui combattent encore les
fascistes) et la ferme, qui leur sert de base de ravitaillement. Hélas,
Lunettes vertes finit par découvrir le subterfuge… Bernardo Atxaga aime donner
la parole aux animaux. Après la chienne Shola, c’est au tour de la vache Mo.
Elle conte ici une des périodes les plus noires de l’histoire espagnole. Un
texte drôle, subtil, un personnage profond et attachant.
mémoires. Sa première déconvenue est de naître vache, mais elle finira par
s’accommoder de cet état de fait, aidée en cela par sa voix intérieure,
surnommée Pénible, sorte de conscience amicale au discours fleuri empreint de
sagesse mais… pénible. Mo vit à Balanzategui, une ferme étrange tenue par
Genoveva et placée sous la surveillance de deux jumeaux aux grandes dents sous
les ordres d’un tueur étranger surnommé Lunettes vertes. Lors d’absurdes
festins de fourrage, Genoveva sépare les noires et les rousses. Mo découvrira
en développant son esprit de déduction et d’observation, que ce système est un
moyen de communication entre les montagnards (qui combattent encore les
fascistes) et la ferme, qui leur sert de base de ravitaillement. Hélas,
Lunettes vertes finit par découvrir le subterfuge… Bernardo Atxaga aime donner
la parole aux animaux. Après la chienne Shola, c’est au tour de la vache Mo.
Elle conte ici une des périodes les plus noires de l’histoire espagnole. Un
texte drôle, subtil, un personnage profond et attachant.
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